2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 01:38
Alfred Victor, comte de Vigny 

né le 27 mars 1797 à Loches (Indre-et-Loire), et mort le 17 septembre 1863 à Paris, 8e.

est un écrivain, romancier, dramaturge et poète français, figure du romantisme. 


L'âge d'or de l'avenir

Le rideau s'est levé devant mes yeux débiles,
La lumière s'est faite et j'ai vu ses splendeurs ;
J'ai compris nos destins par ces ombres mobiles
Qui se peignaient en noir sur de vives couleurs.
Ces feux, de ta pensée étaient les lueurs pures,
Ces ombres, du passé les magiques figures,
J'ai tressailli de joie en voyant nos grandeurs.

Il est donc vrai que l'homme est monté par lui-même
Jusqu'aux sommets glacés de sa vaste raison,
Qu'il y peut vivre en paix sans plainte et sans blasphème,
Et mesurer le monde et sonder l'horizon.
Il sait que l'univers l'écrase et le dévore ;
Plus grand que l'univers qu'il juge et qui l'ignore,
Le Berger a lui-même éclairé sa maison.



La lumière et ses splendeurs
Illustration mcp
La-lumiere-et-ses-splendeurs---mcp.jpg

Partager cet article
Repost0
2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 00:35
"Floraison"
 
Photos personnelles
 
Dans mon jardin
Nigelles


Nigelle-DSC06877.jpg


Nigelle-DSC06878.jpg


Nigelle-DSC06879.jpg


Nigelle-DSC06880.jpg


Nigelle-DSC06881.jpg


Nigelle-DSC06984.jpg


Nigelle-DSC06989.jpg


Nigelle-DSC06990.jpg


Nigelle-DSC06991.jpg


Nigelle-DSC06994.jpg


Nigelle-DSC06996.jpg
Partager cet article
Repost0
1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 01:32

 

"Floraison"

 

Photos personnelles

 

Dans mon jardin
Oeillets de chine


oeillet-DSC02301.jpg



oeillet-DSC02435.jpg



oeillet-DSC02436.jpg



oeillet-DSC05693.jpg



oeillet-DSC05694.jpg



oeillet-DSC05695.jpg



oeillet-DSC06892.jpg



Oeillet-DSC06894.jpg



oeillet-DSC06978.jpg



oeillet-DSC06979.jpg



oeillet-DSC06980.jpg



oeillet-DSC06981.jpg



oeillet-DSC06982.jpg



oeillet-DSC06983.jpg

Partager cet article
Repost0
31 mai 2014 6 31 /05 /mai /2014 00:39
"Floraison"

Photos personnelles

Dans mon jardin
Deutzia


Deutzia-DSC06897.jpg


Deutzia-DSC06898.jpg


Deutzia-DSC06899.jpg


Deutzia-DSC06900.jpg


Deutzia-DSC06901.jpg


Deutzia-DSC06902.jpg


Deutzia-DSC06903.jpg


Deutzia-DSC06931.jpg


Deutzia-DSC06932.jpg


Deutzia-DSC06933.jpg


Deutzia-DSC06934.jpg


Deutzia-DSC06935.jpg


Deutzia-DSC06936.jpg


Deutzia-DSC06937.jpg

Partager cet article
Repost0
30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 02:17
Alfred Victor, comte de Vigny 

né le 27 mars 1797 à Loches (Indre-et-Loire), et mort le 17 septembre 1863 à Paris, 8e.

est un écrivain, romancier, dramaturge et poète français, figure du romantisme. 



La colère de Samson

Le désert est muet, la tente est solitaire.
Quel Pasteur courageux la dressa sur la terre
Du sable et des lions? - La nuit n'a as calmé
La fournaise du jour dont l'air est enflammé.
Un vent léger s'élève à l'horizon et ride
Les flots de la poussière ainsi qu'un lac limpide.
Le lin blanc de la tente est bercé mollement ;
L'oeuf d'autruche allumé veille paisiblement,
Des voyageurs voilés intérieure étoile,
Et jette longuement deux ombres sur la toile.

L'une est grande et superbe, et l'autre est à ses pieds :
C'est Dalila, l'esclave, et ses bras sont liés
Aux genoux réunis du maître jeune et grave
Dont la force divine obéit à l'esclave.
Comme un doux léopard elle est souple, et répand
Ses cheveux dénoués aux pieds de son amant.
Ses grands yeux, entr'ouverts comme s'ouvre l'amande,
Sont brûlants du plaisir que son regard demande,
Et jettent, par éclats, leurs mobiles lueurs.
Ses bras fins tout mouillés de tièdes sueurs,
Ses pieds voluptueux qui sont croisés sous elle,
Ses flancs plus élancés que ceux de la gazelle,
Pressés de bracelets, d'anneaux, de boucles d'or,
Sont bruns ; et, comme il sied aux filles de Hatsor,
Ses deux seins, tout chargés d'amulettes anciennes,
Sont chastement pressés d'étoffes syriennes.

Les genoux de Samson fortement sont unis
Comme les deux genoux du colosse Anubis.
Elle s'endort sans force et riante et bercée
Par la puissante main sous sa tête placée.
Lui, murmure ce chant funèbre et douloureux
Prononcé dans la gorge avec des mots hébreux.
Elle ne comprend pas la parole étrangère,
Mais le chant verse un somme en sa tête légère.

" Une lutte éternelle en tout temps, en tout lieu
Se livre sur la terre, en présence de Dieu,
Entre la bonté d'Homme et la ruse de Femme.
Car la Femme est un être impur de corps et d'âme.

L'Homme a toujours besoin de caresse et d'amour,
Sa mère l'en abreuve alors qu'il vient au jour,
Et ce bras le premier l'engourdit, le balance
Et lui donne un désir d'amour et d'indolence.
Troublé dans l'action, troublé dans le dessein,
Il rêvera partout à la chaleur du sein,
Aux chansons de la nuit, aux baisers de l'aurore,
A la lèvre de feu que sa lèvre dévore,
Aux cheveux dénoués qui roulent sur son front,
Et les regrets du lit, en marchant, le suivront.
Il ira dans la ville, et là les vierges folles
Le prendront dans leurs lacs aux premières paroles.
Plus fort il sera né, mieux il sera vaincu,
Car plus le fleuve est grand et plus il est ému.
Quand le combat que Dieu fit pour la créature
Et contre son semblable et contre la Nature
Force l'Homme à chercher un sein où reposer,
Quand ses yeux sont en pleurs, il lui faut un baiser.
Mais il n'a pas encor fini toute sa tâche. -
Vient un autre combat plus secret, traître et lâche ;
Sous son bras, sous son coeur se livre celui-là,
Et, plus ou moins, la Femme est toujours DALILA.

Elle rit et triomphe ; en sa froideur savante,
Au milieu de ses soeurs elle attend et se vante
De ne rien éprouver des atteintes du feu.
A sa plus belle amie elle en a fait l'aveu :
" Elle se fait aimer sans aimer elle-même.
" Un Maître lui fait peur. C'est le plaisir qu'elle aime,
" L'Homme est rude et le prend sans savoir le donner.
" Un sacrifice illustre et fait pour étonner
" Rehausse mieux que l'or, aux yeux de ses pareilles,
" La beauté qui produit tant d'étranges merveilles
" Et d'un sang précieux sait arroser ses pas. "

- Donc ce que j'ai voulu, Seigneur, n'existe pas. -
Celle à qui va l'amour et de qui vient la vie,
Celle-là, par Orgueil, se fait notre ennemie.
La Femme est à présent pire que dans ces temps
Où voyant les Humains Dieu dit : Je me repens !
Bientôt, se retirant dans un hideux royaume,
La Femme aura Gomorrhe et l'Homme aura Sodome,
Et, se jetant, de loin, un regard irrité,
Les deux sexes mourront chacun de son côté.

Eternel ! Dieu des forts ! vous savez que mon âme
N'avait pour aliment que l'amour d'une femme,
Puisant dans l'amour seul plus de sainte vigueur
Que mes cheveux divins n'en donnaient à mon coeur.
- Jugez-nous. - La voilà sur mes pieds endormie.
- Trois fois elle a vendu mes secrets et ma vie,
Et trois fois a versé des pleurs fallacieux
Qui n'ont pu me cacher a rage de ses yeux ;
Honteuse qu'elle était plus encor qu'étonnée
De se voir découverte ensemble et pardonnée.
Car la bonté de l'Homme est forte, et sa douceur
Ecrase, en l'absolvant, l'être faible et menteur.

Mais enfin je suis las. - J'ai l'aine si pesante,
Que mon corps gigantesque et ma tête puissante
Qui soutiennent le poids des colonnes d'airain
Ne la peuvent porter avec tout son chagrin.

Toujours voir serpenter la vipère dorée
Qui se traîne en sa fange et s'y croit ignorée ;
Toujours ce compagnon dont le coeur n'est pas sûr,
La Femme, enfant malade et douze fois impur !
- Toujours mettre sa force à garder sa colère
Dans son coeur offensé, comme en un sanctuaire
D'où le feu s'échappant irait tout dévorer,
Interdire à ses yeux de voir ou de pleurer,
C'est trop ! - Dieu s'il le veut peut balayer ma cendre,
J'ai donné mon secret ; Dalila va le vendre.
- Qu'ils seront beaux, les pieds de celui qui viendra
Pour m'annoncer la mort ! - Ce qui sera, sera ! "

Il dit et s'endormit près d'elle jusqu'à l'heure
Où les guerriers, tremblant d'être dans sa demeure,
Payant au poids de l'or chacun de ses cheveux,
Attachèrent ses mains et brûlèrent ses yeux,
Le traînèrent sanglant et chargé d'une chaîne
Que douze grands taureaux ne tiraient qu'avec peine,
La placèrent debout, silencieusement,
Devant Dagon leur Dieu qui gémit sourdement
Et deux fois, en tournant, recula sur sa base
Et fit pâlir deux fois ses prêtres en extase ;
Allumèrent l'encens ; dressèrent un festin
Dont le bruit s'entendait du mont le plus lointain,
Et près de la génisse aux pieds du Dieu tuée
Placèrent Dalila, pâle prostituée,
Couronnée, adorée et reine du repas,
Mais tremblante et disant : IL NE ME VERRA PAS !

Terre et Ciel ! avez-vous tressailli d'allégresse
Lorsque vous avez vu la menteuse maîtresse
Suivie d'un oeil hagard les yeux tachés de sang
Qui cherchaient le soleil d'un regard impuissant ?

Et quand enfin Samson secouant les colonnes
Qui faisaient le soutien des immenses Pylônes
Ecrasant d'un seul coup sous les débris mortels
Ses trois mille ennemis, leurs Dieux et leurs autels ? -

Terre et Ciel ! punissez par de telles justices
La trahison ourdie en es amours factices
Et la délation du secret de nos coeurs
Arraché dans nos bras par des baisers menteurs !


Andrea Mantegna (1431–1506)
Samson et Dalila 
Samson-et-Dalila-Andrea-Mantegna--1431-1506-.jpg

Partager cet article
Repost0
30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 01:14
"Enfants et Fleurs"
Par les grands peintres

James Charles (1851-1906)


La fille en blanc
zzz-Charle-James-fille-en-blanc.jpg

A la fenêtre
zzz-charles-james-A-la-fenetre.jpg

Lecture à la fenêtre
zzz-Charles-James-Lecture-a-la-fenetre.jpg


Partager cet article
Repost0
30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 00:44
"Floraison"

Photos personnelles

Dans mon jardin
Campanules



campanule-DSC06886.jpg


campanule-DSC06887.jpg


campanule-DSC06888.jpg


campanule-DSC06889.jpg


campanule-DSC06890.jpg


campanule-DSC06893.jpg


campanule-DSC06895.jpg


campanule-DSC06896.jpg


campanule-DSC06904.jpg


campanule-DSC06905.jpg

Partager cet article
Repost0
29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 03:10
Alfred Victor, comte de Vigny 
 
né le 27 mars 1797 à Loches (Indre-et-Loire), et mort le 17 septembre 1863 à Paris, 8e.
 
est un écrivain, romancier, dramaturge et poète français, figure du romantisme. 
 


 
Les destinées
 
Depuis le premier jour de la création,
Les pieds lourds et puissants de chaque Destinée
Pesaient sur chaque tête et sur toute action.
 
Chaque front se courbait et traçait sa journée,
Comme le front d'un boeuf creuse un sillon profond
Sans dépasser la pierre où sa ligne est bornée.
 
Ces froides déités liaient le joug de plomb
Sur le crâne et les yeux des Hommes leurs esclaves,
Tous errant, sans étoile, en un désert sans fond ;
 
Levant avec effort leurs pieds chargés d'entraves ;
Suivant le doigt d'airain dans le cercle fatal,
Le doigt des Volontés inflexibles et graves.
 
Tristes divinités du monde oriental,
Femmes au voile blanc, immuables statues,
Elles nous écrasaient de leur poids colossal.
 
Comme un vol de vautours sur le sol abattues,
Dans un ordre éternel, toujours en nombre égal
Aux têtes des mortels sur la terre épandues,
 
Elles avaient posé leur ongle sans pitié
Sur les cheveux dressés des races éperdues,
Traînant la femme en pleurs et l'homme humilié.
 
Un soir il arriva que l'antique planète
Secoua sa poussière. - Il se fit un grand cri :
" Le Sauveur est venu, voici le jeune athlète,
 
" Il a le front sanglant et le côté meurtri,
" Mais la Fatalité meurt au pied du Prophète,
" La Croix monte et s'étend sur nous comme un abri ! "
 
Avant l'heure où, jadis, ces choses arrivèrent,
Tout Homme allait courbé, le front pâle et flétri.
Quand ce cri fut jeté, tous ils se relevèrent.
 
Détachant les noeuds lourds du joug de plomb du Sort,
Toutes les Nations à la fois s'écrièrent :
" O Seigneur ! est-il vrai ? le Destin est-il mort ? "
 
Et l'on vit remonter vers le ciel, par volées,
Les filles du Destin, ouvrant avec effort
Leurs ongles qui pressaient nos races désolées ;
 
Sous leur robe aux longs plis voilant leurs pieds d'airain,
Leur main inexorable et leur face inflexible ;
Montant avec lenteur en innombrable essaim,
 
D'un vol inaperçu, sans ailes, insensible,
Comme apparaît au soir, vers l'horizon lointain,
D'un nuage orageux l'ascension paisible.
 
- Un soupir de bonheur sortit du coeur humain.
La terre frissonna dans son orbite immense,
Comme un cheval frémit délivré de son frein.
 
Tous les astres émus restèrent en silence,
Attendant avec l'Homme, en la même stupeur,
Le suprême décret de la Toute-Puissance,
 
Quand ces filles du Ciel, retournant au Seigneur,
Comme ayant retrouvé leurs régions natales,
Autour de Jéhovah se rangèrent en choeur,
 
D'un mouvement pareil levant leurs mains fatales,
Puis chantant d'une voix leur hymne de douleur
Et baissant à la fois leurs fronts calmes et pâles :
 
" Nous venons demander la Loi de l'avenir.
" Nous sommes, ô Seigneur, les froides Destinées
" Dont l'antique pouvoir ne devait point faillir.
 
" Nous roulions sous nos doigts les jours et les années ;
" Devons-nous vivre encore ou devons-nous finir,
" Des Puissances du ciel, nous, les fortes aînées ?
 
" Vous détruisez d'un coup le grand piège du Sort
" Où tombaient tour à tour les races consternées,
" Faut-il combler la fosse et briser le ressort ?
 
" Ne mènerons-nous plus ce troupeau faible et morne,
" Ces hommes d'un moment, ces condamnés à mort
" Jusqu'au bout du chemin dont nous posions la borne ?
 
" Le moule de la vie était creusé par nous.
" Toutes les passions y répandaient leur lave,
" Et les événements venaient s'y fondre tous.
 
" Sur les tables d'airain où notre loi se grave,
" Vous effacez le nom de la FATALITE,
" Vous déliez les pieds de l'Homme notre esclave.
 
" Qui va porter le poids dont s'est épouvanté
" Tout ce qui fut créé ? ce poids sur la pensée,
" Dont le nom est en bas : RESPONSABILITE ? 
 
Il se fit un silence, et la Terre affaissée
S'arrêta comme fait la barque sans rameurs
Sur les flots orageux, dans la nuit balancée.
 
Une voix descendit, venant de ces hauteurs
Où s'engendrent sans fin les mondes dans l'espace ;
Cette voix, de la terre emplit les profondeurs :
 
" Retournez en mon nom, Reines, je suis la Grâce.
" L'Homme sera toujours un nageur incertain
" Dans les ondes du temps qui se mesure et passe.
 
" Vous toucherez son front, ô filles du Destin !
" Son bras ouvrira l'eau, qu'elle soit haute ou basse,
" Voulant trouver sa place et deviner sa fin.
 
" Il sera plus heureux, se croyant maître et libre
" Et luttant contre vous dans un combat mauvais
" Où moi seule d'en haut je tiendrai l'équilibre.
 
" De moi naîtra son souffle et sa force à jamais.
" Son mérite est le mien, sa loi perpétuelle :
" Faire ce que je veux pour venir OÙ JE SAIS. "
 
Et le choeur descendit vers sa proie éternelle
Afin d'y ressaisir sa domination
Sur la race timide, incomplète et rebelle.
 
On entendit venir la sombre Légion
Et retomber les pieds des femmes inflexibles,
Comme sur nos caveaux tombe un cercueil de plomb.
 
Chacune prit chaque homme en ses mains invisibles.
- Mais, plus forte à présent, dans ce sombre duel,
Notre âme en deuil combat ces Esprits impassibles.
 
Nous soulevons parfois leur doigt faux et cruel.
La Volonté transporte à des hauteurs sublimes
Notre front éclairé par un rayon du ciel.
 
Cependant sur nos caps, sur nos rocs, sur nos cimes,
Leur doigt rude et fatal se pose devant nous,
Et, d'un coup, nous renverse au fond des noirs abîmes.
 
Oh ! dans quel désespoir nous sommes encor tous !
Vous avez élargi le COLLIER qui nous lie,
Mais qui donc tient la chaîne ? - Ah ! Dieu juste, est-ce vous ?
 
Arbitre libre et fier des actes de sa vie,
Si notre coeur s'entr'ouvre au parfum des vertus,
S'il s'embrase à l'amour, s'il s'élève au génie,
 
Que l'ombre des Destins, Seigneur, n'oppose plus
A nos belles ardeurs une immuable entrave,
A nos efforts sans fin des coups inattendus !
 
O sujet d'épouvante à troubler le plus brave !
Questions sans réponse où vos Saints se sont tus !
O mystère ! ô tourment de l'âme forte et grave !
 
Notre mot éternel est-il : C'ÉTAIT ECRIT ?
- SUR LE LIVRE DE DIEU, dit l'Orient esclave ;
Et l'Occident répond : - SUR LE LIVRE DU CHRIST.

 
Illustration mcp - C'était écrit

Illustration mcp - C'était écrit

Partager cet article
Repost0
29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 01:22
"Enfants et Fleurs"
Par les grands peintres
 
Charles Chaplin (1825-1891)
 
 
 
Les trois amis
"Enfants et fleurs" par les grands peintres (93)



Enfants de La famille Gros
zzz-Chaplin-Charles__Enfants_1860.jpg 

La fille du peintre ou jeune fille au panier de fleurs
zzz-Chaplin-Charles--1825---1891--la-fille-du-peintre-jeu.jpg


 
Partager cet article
Repost0
29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 01:15
Le cheval 

Photos personnelles

Chevaux
Evans - Jura


1-DSC06825.JPG


2-DSC06826.JPG


DSC06828.JPG


DSC06829.JPG


DSC06830.JPG


DSC06831.JPG


DSC06832.JPG


DSC06833.JPG


DSC06834.JPG

Partager cet article
Repost0

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Recherche

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Catégories

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Evans - Jura

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mes Blogs Amis À Visiter