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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 00:10
 
"Femmes et Fleurs"
 par les grands peintres (82)



Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Princesse Alice d'Angleterre
Winterhalter-princes-alice-of-england.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Reine Victoria
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Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Scène de roman
Winterhalter-roman-genre-scene.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Sophie Guillemette grande duchesse de Baden
Winterhalter-sophie-guillemette-grand-duchess-of-baden.jpg-.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Sophie Trobetskoy duchesse de Morny
Winterhalter-sophie-trobetskoy-duchess-of-morny.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Reine Victoria et Victoire duchesse de Nemours
Winterhalter-the-cousins-queen-victoria-and-victoire-duches.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
L'Impératrice Eugénie
Winterhalter-the-empress-eug-nie-1854.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Comtesse Zamoyska
WINTERHALTER-COUNTESS-ZAMOYSKA.JPG

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Printemps
Winterhalter-spring-jpg
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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 00:09
Pour le thème du mois d'octobre
de la communauté "douce France"

"Les Festivités"

"Bal et soirée"
par les grands peintres (16)

Kees Van Dongen (1877-1968)
Le Moulin de la Galette
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Kees Van Dongen (1877-1968)
Le Moulin de la Galette
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Kees Van Dongen (1877-1968)
Bal au Moulin de la Galette
van-Dongen-bal-moulin-de-la-galette-1904-05.jpeg

Kees Van Dongen (1877-1968)
Affiche Bal à l'opéra, des petits lits blancs
van-dongen-bal-a--l-opera-des-petits-lits-blanc.png
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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 01:04
Marceline Desbordes-Valmore,

née à Douai le 20 juin 1786 et morte à Paris le 23 juillet 1859,

est une poétesse française.


La sincère

Veux-tu l'acheter ?
Mon coeur est à vendre.
Veux-tu l'acheter,
Sans nous disputer ?

Dieu l'a fait d'aimant ;
Tu le feras tendre ;
Dieu l'a fait d'aimant
Pour un seul amant !

Moi, j'en fais le prix ;
Veux-tu le connaître ?
Moi, j'en fais le prix ;
N'en sois pas surpris.

As-tu tout le tien ?
Donne ! et sois mon maître.
As-tu tout le tien,
Pour payer le mien ?

S'il n'est plus à toi,
Je n'ai qu'une envie ;
S'il n'est plus à toi,
Tout est dit pour moi.

Le mien glissera,
Fermé dans la vie ;
Le mien glissera,
Et Dieu seul l'aura !

Car, pour nos amours,
La vie est rapide ;
Car, pour nos amours,
Elle a peu de jours.

L'âme doit courir
Comme une eau limpide ;
L'âme doit courir,
Aimer ! et mourir.


Illustration mcp
La sincère
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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 01:02
 
"Femmes et Fleurs"
 par les grands peintres (81)

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Grande duchesse de Russie - Olga Feodorovna
Winterhalter-grand-duchess-of-russia-olga-feodorovna.jpg-Bl.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Grande duchesse Olga
Winterhalter-grand-duchess-olga.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Harriet Howard duchesse de Sutherland
Winterhalter-harriet-howard-duchess-of-sutherland.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Marie Caroline Auguste de Bourbon duchesse d'Aumale
Winterhalter-maria-carolina-de-borb-dues-sic-lies.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Pauline Clémentine Marie Walburgeprincesse de Metternich-Winneburg
Winterhalter-pauline-sandor-princess-metternich.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Comtesse Pushkina avec une rose dans les cheveux
Winterhalter-portrait-of-a-lady-with-roses-in-her--copie-1.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Francisca Caroline Gonzaga de Bragan princesse de Joinville
Winterhalter-portrait-of-francisca-caroline-gonzaga-de-brag.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Princesse Marie-Clementine d'Orleans
Winterhalter-portrait-of-hrh-princess-marie-clementine-of-o.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Luisa Fernanda infante d'Espagne duchesse de Montpensier
Winterhalter-portrait-of-infanta-luisa-fernanda-of-spain-du.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Portrait de la princesse de Baden
Winterhalter-portrait-of-princess-of-baden-1856.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Princesse Victoria Mélita de Saxe-Cobourg-Gotha
Winterhalter-portrait-of-princess-victoria-of-saxe-coburg-a.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Portrait de Victoria du Royaume-Uni
Winterhalter-portrait-of-victoria-of-the-united-ki-copie-1.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Victoria princesse royale
Winterhalter-portrait-of-victoria-princess-royal.jpg-Blog.jpg
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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 01:00
Pour le thème du mois d'octobre
de la communauté "douce France"

"Les Festivités"

"Bal et soirée"
par les grands peintres (15)

Henri de Toulouse Lautrec
Au bal du Moulin de la Galette
Toulouse-lautrec-Henri-de-Toulouse-au-bal-du-moulin-de-la-g.jpg

Henri de Toulouse Lautrec
Bal
Toulouse_Lautrec-Bal.jpg

Henri de Toulouse Lautrec
Bal au Moulin Rouge
Toulouse-Lautrec-bal-au-moulin-rouge.jpg

Henri de Toulouse Lautrec
Bal au Moulin Rouge - La Goulue
Toulouse-Lautrec_bal-moulin_rouge-_la_goulue_-poster-_1891.jpg
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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 01:54
Marceline Desbordes-Valmore,

née à Douai le 20 juin 1786 et morte à Paris le 23 juillet 1859,

est une poétesse française.


L’Indiscret
Elégies


        Dans la paix triste et profonde
        Où me plongeait ce séjour,
        J’ignorais qu’au bruit du monde
        On peut oublier l’amour :
Quelle est donc cette voix importune et cruelle
Qui déjà me détrompe avec un ris moqueur ?
Comme une flèche aiguë elle siffle autour d’elle,
Et le trait qu’elle porte a déchiré mon cœur.

        Au bord de ma tombe ignorée,
        Ciel ! par cette langue acérée,
Faut-il qu’un nom trop cher puisse m’atteindre encor,
        Pour m’apprendre ( nouvelle affreuse ! )
        Que j’étais seule malheureuse,
        Et qu’on m’oublie avant ma mort !

Du plus sincère amour quel châtiment terrible !
Je n’étais pas aimée ! ... ô confidence horrible !
Il a parlé longtemps. Mes yeux, gonflés de pleurs,
Se détournaient en vain de ses lèvres légères,
Dont le souffle éteignait mes erreurs les plus chères,
Et dont le rire affreux outrageait mes malheurs.
Lui n’a vu mon effroi ni ma pâleur extrême ;
L’indiscret n’a point d’âme, il ne devine rien ;
Du bruit de sa parole il s’étourdit lui-même,
Il s’écoute, il s’admire, il se répond : c’est bien !
Loin de moi... Mais sa voix ! elle me frappe encore ;
Son timbre me poursuit, et partout il m’attend :
Sait-il que je me meurs ? Sait-il que je l’abhorre ?
Il révèle un secret, il parle, il est content.

Ah ! j’aurais dû crier : c’est moi... je l’aime... arrête !
Par ton Dieu, par ta mère et tes premiers amours,
Dis qu’il n’est point parjure ; oh ! dis-le ! je suis prête
À t’entendre, à tout croire, à t’écouter toujours.
Mais non, il n’a pas vu ma main, faible et glacée,
Rassembler mes cheveux pour voiler mon affront ;
Il n’a pas vu la mort, par lui-même tracée,
Sous le bandeau de fleurs qui tremblaient sur mon front.
Aveugle ! il n’a pas vu se fermer et s’éteindre
                Mon œil longtemps fermé !
Quand j’ai dit : Se peut-il ! ... ma voix n’a pu l’atteindre ;
                Il n’a donc pas aimé ?

Peut-être qu’en naissant il a perdu sa mère,
Qu’il n’a jamais connu le baiser d’une sœur,
Et qu’à ses premiers cris, une dure étrangère
N’a jamais d’une sourire accordé la douceur.

            Fuis, dépositaire infidèle
Des secrets imprudents confiés à ta foi !
Va ! qui trompe une amante au moins a pitié d’elle :
Tu trahis un méchant, mais il l’est moins que toi.
Sa pudeur, ses remords prenaient soin de ma vie ;
Lui-même il frémira du mal que tu me fais :
Il laissait l’espérance à mon âme asservie,
Il se taisait enfin ; et moi... que je le hais !

Pour tromper tant d’amour qu’il s’imposa de peine !
        Quelle humiliante pitié !
Mais toi, toi qui pour lui m’inspires tant de haine,
                Ah ! prends-en la moitié !
Qu’elle attache à mes pleurs une longue puissance ;
Qu’elle effraie à ton nom l’imprudente innocence ;
Que ton cœur s’intimide à mes cris douloureux ;
Qu’il devienne sensible, et qu’il soit malheureux !
Oui, puisses-tu brûler, et languir, et déplaire
Au jeune et froid objet qui sauva t’enflammer ;
Ou plutôt... tremble au vœu qu’inventé ma colère ,
Puisses-tu longtemps vivre, et ne jamais aimer !

Illustration mcp
L'indiscret
indiqscret.jpg
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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 01:51
 
"Femmes et Fleurs"
 par les grands peintres (80)


Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Adelina Patti.
Winterhalter-adelina-patti.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Grande duchesse de Russie, princesse Alexandra de Altenburg
Winterhalter-alexandra-iosifovna-grand-duchess-of-russia-pr.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Alexandra Princesse de Galles
Winterhalter-alexandra-princess-of-wales.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Anna Dollfus baronne de Bourgoing.
Winterhalter-anna-dollfus-baronness-de-bourgoing.jpg-Blog.jpg
 
Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Une jeune fille suisse d'Interlaken
Winterhalter-a-swiss-girl-from-interlaken.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Comtesse Alexander Nikolaevitch Lamsdorff
Winterhalter-countess-alexander-nikolaevitch-lamsdorff.jpg-.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Elizabeth Impératrice d'Autriche
Winterhalter-elizabeth-empress-of-austria-1865.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Impératrice Eugénie
Winterhalter-empress-eugenie.jpg-Blog.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Impératrice Eugénie et ses Dames de compagnie
Winterhalter-empress-eugenie-surrounded-by-her-ladies-in-wa.jpg

Franz Xaver Winterhalter (1805-1873) 
Eugénie de Montijo Impératrice de France
Winterhalter-eug-nie-de-montijo-empress-of-france.jpg-Blog.jpg
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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 01:50
Pour le thème du mois d'octobre
de la communauté "douce France"

"Les Festivités"

"Bal et soirée"
par les grands peintres (14)

Théophile Alexandre Steinlen (1859-1923)
Bal à Barrière
Steinlen-Theophile-alexandre-bal_de_barriere.jpg

James Tissot (1836-1902)
Le bal sur le bateau
tissot-le-bal-sur-le-bateau.JPG

James Tissot (1836-1902)
Le bal
Tissot-le-bal.jpg

James Tissot (1836-1902)
Le bal 
tissot-le-bal.jpg

James Tissot (1836-1902)
Le bal au musée d'Orsay
Tissot---Le-Bal-au-musee-d--Orsay.jpg

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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 01:23
Marceline Desbordes-Valmore,

née à Douai le 20 juin 1786 et morte à Paris le 23 juillet 1859,

est une poétesse française.


L’arbrisseau

La tristesse est rêveuse, et je rêve souvent ;
La nature m’y porte, on la trompe avec peine :
    Je rêve au bruit de l’eau qui se promène,
Au murmure du saule agité par le vent.
J’écoute : un souvenir répond à ma tristesse ;
Un autre souvenir s’éveille dans mon cœur :
Chaque objet me pénètre, et répand sa couleur
        Sur le sentiment qui m’oppresse.
        Ainsi le nuage s’enfuit,
        Pressé par un autre nuage :
        Ainsi le flot fuit le rivage,
        Cédant au flot qui le poursuit.

    J’ai vu languir, au fond de la vallée,
    Un arbrisseau qu’oubliait le bonheur ;
L’aurore se levait sans éclairer sa fleur,
Et pour lui la nature était sombre et voilée.
Ses printemps ignorés s’écoulaient dans la nuit ;
    L’amour jamais d’une fraîche guirlande
    À ses rameaux n’avait laissé l’offrande :
        Il fait froid aux lieux qu’Amour fuit.
L’ombre humide éteignait sa force languissante ;
Son front pour s’élever faisait un vain effort ;
Un éternel hiver, une eau triste et dormante
Jusque dans sa racine allaient porter la mort.

« Hélas ! faut-il mourir sans connaître la vie !
Sans avoir vu des cieux briller les doux flambeaux !
Je n’atteindrai jamais de ces arbres si beaux
        La couronne verte et fleurie !
Ils dominent au loin sur les champs d’alentour :
On dit que le soleil dore leur beau feuillage ;
    Et moi, sous leur impénétrable ombrage,
        Je devine à peine le jour !
Vallon où je me meurs, votre triste influence
A préparé ma chute auprès de ma naissance.
    Bientôt, hélas ! je ne dois plus gémir !
    Déjà ma feuille a cessé de frémir . . .
    Je meurs, je meurs. » Ce douloureux murmure
    Toucha le dieu protecteur du vallon.
    C’était le temps où le noir Aquilon
    Laisse, en fuyant, respirer la nature.
    « Non, dit le dieu : qu’un souffle de chaleur
    Pénètre au sein de ta tige glacée.
    Ta vie heureuse est enfin commencée ;
    Relève-toi, j’ai ranimé ta fleur.
    Je te consacre aux nymphes des bocages ;
    À mes lauriers tes rameaux vont s’unir,
Et j’irai quelque jour sous leurs jeunes ombrages
        Chercher un souvenir. »

L’arbrisseau, faible encor, tressaillit d’espérance ;
Dans le pressentiment il goûta l’existence ;
Comme l’aveugle-né, saisi d’un doux transport,
Voit fuir sa longue nuit, image de la mort,
Quand une main divine entr’ouvre sa paupière,
Et conduit à son âme un rayon de lumière :
L’air qu’il respire alors est un bienfait nouveau ;
    Il est plus pur : il vient d’un ciel si beau !


Création mcp
l'arbrisseau
http://img1.picmix.com/output/pic/original/3/7/8/4/2674873_6615a.jpg
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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 01:21
 
"Femmes et Fleurs"
 par les grands peintres (79)

Josef Süss Wenzel (1857-1937)
Dans l'herbe fraiche
wenzel dans l'herbe fraiche

Josef Süss Wenzel (1857-1937)
Femme vendant des fleurs
Wenzel-Suss-Josef--Austrian-artist--1857---1937--femme-v.jpg

Josef Süss Wenzel (1857-1937)
Douce magie du printemps
Wenzel_Suss_Douce-magie-du-printemps.jpg

Josef Süss Wenzel (1857-1937)
Jardin de roses

Wenzel_Suss_jardin-de-roses.jpg
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