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24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 01:44



Le Caire - Egypte




"Carte postale 1900"

numerisation0336.jpg

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24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 01:43

Fête : 24 février
 
Modeste
 
Etymologie : Timide, discret (latin).
 
Ces hommes apparaissent doux, calmes et réservés bien qu'étant de grands nerveux. Il y a en eux une partie secrète qui les pousse à s'intérioriser, à rechercher la solitude, et une partie ouverte aux autres, plutôt altruiste et qui cherche à s'unir à de vastes mouvements sociaux. En effet, les "Modeste" ont souvent besoin de la collectivité pour se sentir stimulés et ils pensent souvent que l'union fait la force. Ils cherchent à être concrets et objectifs. Leur esprit critique est développé, mais ils sont aussi intuitifs, imaginatifs, sensitifs et sensibles. On dit souvent de ces hommes qu'ils sortent de l'ordinaire. S'ils sont dans l'impossibilité de réaliser leurs idéaux, ils peuvent être tentés de fuir dans des rêves... 
Gifs Bonne Fête prénom Modeste - 24 février
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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 00:41

André Marie de Chénier,
dit André Chénier,
 
né le 30 octobre 1762 à Constantinople et mort guillotiné à Paris le 25 juillet 1794.
 
L'œuvre inachevée de ce jeune poète du XVIIe siècle, publiée progressivement à partir de 1819, a fait de lui une figure majeure de l'hellénisme en France.





 
Sur un groupe de Jupiter et d'Europe

 
Étranger, ce taureau qu'au sein des mers profondes 
D'un pied léger et sûr tu vois fendre les ondes, 
Est le seul que jamais Amphitrite ait porté.
Il nage aux bords crétois. Une jeune beauté 
Dont le vent fait voler l'écharpe obéissante 
Sur ses flancs est assise, et d'une main tremblante 
Tient sa corne d'ivoire, et, les pleurs dans les yeux, 
Appelle ses parents, ses compagnes, ses jeux ; 
Et, redoutant la vague et ses assauts humides, 
Retire et veut sous soi cacher ses pieds timides.

 
L'art a rendu l'airain fluide et frémissant. 
On croit le voir flotter. Ce nageur mugissant, 
Ce taureau, c'est un dieu, c'est Jupiter lui-même. 
Dans ces traits déguisés, du monarque suprême 
Tu reconnais encore et la foudre et les traits. 
Sidon l'a vu descendre au bord de ses guérets, 
Sous ce front emprunté couvrant ses artifices, 
Brillant objet des voeux de toutes les génisses.

 
La vierge tyrienne, Europe, son amour, 
Imprudente, le flatte : il la flatte à son tour ;
Et, se fiant à lui, la belle désirée 
Ose asseoir sur son flanc cette charge adorée. 
Il s'élance dans l'onde ; et le divin nageur, 
Le taureau, roi des dieux, l'humide ravisseur, 
A déjà passé Chypre et ses rives fertiles ; 
Il approche de Crète, et va voir les cent villes.

 
Guido RENI Jupiter et Europe

Guido RENI Jupiter et Europe

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 00:40
Mythologie gréco-romaine
 
Le crocus
 


Le mot crocus vient du grec krokos qui signifie «safran».

crocus

crocus

Selon le mythe, Crocos était un beau jeune homme ami d’Hermès, dieu du commerce. Lors d’une partie de lancer de disque, Hermès blessa accidentellement et mortellement Crocos. De sa blessure coulèrent trois gouttes de sang qui se transformèrent en une fleur de crocus…

​​​​​​​

crocus

crocus

Dans la mythologie grecque, la légende dit qu'un jeune homme amoureux de la nymphe Smylax, qui ne répondait pas à son amour, fut changé en crocus par les dieux pour apaiser sa peine.


D'après l'Iliade, cette fleur formait aussi la couche de Zeus et d’Héra.


Selon une version du mythe, Europe, fille du roi de Tyr, une ville de Phénicie (actuel Liban) fait un rêve. Le jour même, Zeus la rencontre sur une plage de Sidon, se métamorphose en taureau blanc, afin de l'approcher sans l'apeurer et échapper à la jalousie de son épouse Héra. Imprudente, attirée par l'odeur d'un crocus qui se trouve dans sa bouche, Europe s'approche de lui. Chevauchant l'animal, elle est emmenée sur l'île de Crète à Gortyne

Veronese  - enlèvement d'Europe par Zeus

Veronese - enlèvement d'Europe par Zeus


Les dieux et les héros grecs étaient représentés portant des vêtements de couleur jaune safran.


Dans la mythologie romaine, on affirme que, sur tous les lieux où s'aimèrent Junon et Jupiter, la semence se répandit sur le sol donnant naissance à un crocus de safran.


Le crocus délivre un message d’amour teinté d’une certaine inquiétude.

 crocus

crocus


Du 16e au 19e siècle, la ville de Boynes ( Loiret) fut la capitale mondiale du safran. Il existait même une tradition : les bulbes de ce crocus entraient dans les dots des jeunes filles à marier.
Le safran est utilisé depuis l’Antiquité. Preuve en sont les œuvres d’Homère, de Virgile et de Pline, où la fameuse épice est déjà mentionnée. Les Egyptiens, les Hébreux, les Indiens ou les Perses la cultivaient principalement pour aromatiser les aliments. Mais elle servait également d’offrande aux dieux et de teinture pour les soieries. Les Romains, eux, l’utilisaient en infusion.

 

On suppose que les Arabes introduisirent la culture du safran en Afrique du Nord, puis en Espagne. Il est possible aussi que le safran ait été rapporté d’Asie Mineure lors des croisades. Les hivers rigoureux de 1880 et 1881 puis l’exode rural, le développement des colorants de synthèse et la baisse de la demande donnèrent le coup de grâce à la culture du safran. Mais celle-ci ne s’est pas complètement éteinte en France pour autant : on trouve encore des producteurs dans le Gâtinais, dans la Creuse, ainsi que dans le Quercy (Lot). Aujourd’hui, le principal pays producteur de safran est l’Iran.
 

safran

safran

Viola Sado - crocus

Viola Sado - crocus

crocus

crocus

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 00:39

La Crête

est une île grecque baignée par les eaux chaudes de la méditerranée. Stalis est une station sur la côte nord, à l'est de l'île. La capitale, Héraklion, se trouve seulement à 30 km plus à l'ouest.

 

Carte postale personnelle

 

Crête - Stalis

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 00:39


Le Caire - Egypte

Le Caire est la capitale de l'Égypte, la plus grande ville d'Afrique et du Moyen-Orient. et la huitième plus grande mégapole du monde.
 
Elle est située sur le bord du Nil ainsi que sur quelques îles adjacentes, dans le nord de l'Égypte. À l'ouest se trouve la ville de Gizeh et sa nécropole antique de Memphis sur le plateau de Gizeh, avec ses trois grandes pyramides dont la pyramide de Khéops. Au sud, se trouve le site de l'antique ville égyptienne de Memphis.


Carte postale personnelle
année 1905

Le Caire - Egypte - Bains de la Khédivah mère
numerisation0306.jpg

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 00:38

Fête : 23 février
 
Lazare
 
Etymologie : Dieu a secouru (hébreu).
 
Ces hommes apparaissent doux, calmes et réservés bien qu'étant de grands nerveux. Il y a en eux une partie secrète, distante, qui les pousse à s'intérioriser, à rechercher la solitude et une partie ouverte aux autres, plutôt altruiste. En effet, les "Lazare" ont souvent besoin de la collectivité pour se sentir stimulés et ils pensent souvent que l'union fait la force. Ils cherchent à être concrets, objectifs et rationnels. Leur esprit critique est développé, mais ils sont aussi intuitifs, imaginatifs, sensibles et rêveur. On dit souvent de ces hommes qu'ils sortent de l'ordinaire.
 
Bonne fête Lazare

Bonne fête Lazare

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 00:16

Xavier Labensky,
 
dit Jean Polonius, né en Pologne (alors sous domination russe) en 1790 et mort en 1855,

est un diplomate et poète d'expression française.
 
Entré dans la carrière diplomatique, il est d'abord attaché à l'ambassade de Russie à Londres, puis il est rappelé à Saint-Pétersbourg pour y exercer d'importantes fonctions à la Chancellerie impériale et au Conseil d'État. Il devient ensuite secrétaire en chef du ministre des Affaires étrangères.
 
Ne venant en France qu'épisodiquement, il choisit néanmoins le français comme sa langue d'expression poétique. Il publie en 1827 et 1829 deux recueils de poésies, suivis d'un troisième en 1840. D'abord élégiaques, ses poèmes prennent peu à peu un tour plus grave et plus philosophique, leur style évoquant pour les uns celui de Lamartine, pour les autres celui d'Alfred de Vigny. 




 
L'exil d'Apollon

 
Apollon dans l'exil végète sur la terre. 
Dépouillé de sa gloire, il a fui loin du ciel, 
Errant, comme l'aiglon qu'a rejeté son père 
Loin du nid maternel.

 
Ah ! plaignez le destin du dieu de l'harmonie ! 
Des plus vils des humains il a subi la loi ; 
Et celui dont l'Olympe admirait le génie 
Est l'esclave d'un roi !

 
Près des lieux où l'Ossa lève sa crête altière, 
Morne, il va conduisant ses troupeaux vagabonds, 
Réduit au pain grossier qu'on jette pour salaire 
Aux pâtres de ces monts.

 
Il est nuit : dans les parcs, tout se tait, tout sommeille ; 
On n'entend que le bruit du sauvage torrent, 
Ou la voix de l'agneau qu'un autre agneau réveille, 
Et qui bêle en rêvant.

 
Qu'il est doux, le parfum de ces forêts lointaines ! 
Qu'il est grand, le tableau de ce monde étoilé ! 
Mais quels tableaux, hélas ! peuvent charmer les peines 
De l'auguste exilé ?

 
Astres, soleils divins, peuplades vagabondes, 
Yeux brillants de la nuit qui parsemez les cieux, 
Qu'êtes-vous pour celui qui du père des mondes 
A vu de près les yeux ?...

 
Le front nu, le regard levé vers les étoiles, 
Sous l'abri d'un laurier le dieu s'est étendu, 
Et son oeil enivré cherche à percer les voiles 
Du ciel qu'il a perdu.

 
Ses doigts courent sans but sur sa lyre incertaine ; 
Errant de corde en corde, il prélude longtemps, 
Puis, tout à coup, cédant au transport qui l'entraîne, 
Il exhale ces chants :


 
" Que voulez-vous de moi, visions immortelles ? 
" Douloureux souvenirs, ineffables regrets !
" Que voulez-vous ? pourquoi m'emporter sur vos ailes 
" Aux célestes palais ?

 
" J'entends encor le bruit de leurs fêtes brillantes ; 
" Sous ces lambris d'azur, d'où me voilà tombé, 
" Je sens, j'aspire encor les vapeurs enivrantes 
" De la coupe d'Hébé.

 
" Je vois les dieux assis sous les pieds de mon père ! 
" Je les vois, de son front contemplant la splendeur, 
" L'oeil fixé sur ses yeux, brillants de sa lumière, 
" Heureux de son bonheur.

 
" Même voeu, même soin, même esprit les anime.
" Chacun d'eux, l'un de l'autre écho mélodieux,
" Sait comprendre et parler cette langue sublime 
" Qu'on ne parle qu'aux cieux.

 
" Mais moi, qui me comprend dans mes chagrins sans nombre,
" Qui peut sentir, connaître, alléger ma douleur ? 
" Hélas ! pour compagnon je n'ai plus que mon ombre, 
" Pour écho que mon coeur.

 
" Ces pâtres ignorants à qui mon sort me lie, 
" Bruts comme les troupeaux qu'ils chassent devant eux,
" Peuvent-ils deviner d'une immortelle vie 
" Les besoins et les voeux ?

 
" Ont-ils vu les rayons dont brille mon visage ? 
" Sauraient-ils distinguer mes lyriques accents 
" De ces cris imparfaits, de ce grossier langage, 
" Qu'ils appellent des chants ?

 
" Fixant sur mes regards un stupide sourire, 
" Ils s'étonnent de maux que nul d'eux n'a soufferts ; 
" Cet étroit horizon, où leur âme respire, 
" Est pour eux l'univers.

 
" J'ai vécu d'une vie et plus haute et plus fière !
" Ma lèvre, humide encor du breuvage des dieux, 
" Rejette avec dégoût les flots mêlés de terre 
" Qu'il faut boire en ces lieux.

 
" Ô mon père ! ô mon père ! à quelle mort vivante 
" L'enfant de ton amour est ici-bas livré ! 
" Pourquoi le triple dard de ta flèche brûlante 
" Ne m'a-t-il qu'effleuré ?

 
" Frappe ! éteins dans mon sang ta colère implacable !
" Brise à jamais le sceau de ma divinité ; 
" Délivre-moi du joug horrible, intolérable 
" De l'immortalité ! "

 
Il disait. Mille éclairs ont déchiré la nue ; 
L'aigle sacré descend sur ses ailes de feu ; 
Et, parlant dans la foudre, une voix trop connue 
Vient réveiller le dieu :

 
" Ô mon fils ! de tes maux supporte ce qui reste !
" Attends que de l'exil le temps soit accompli :
" Une fois épuisé, le sablier funeste 
" Ne sera pas rempli.

 
" Ton père te punit ; mais il punit en père :
" Bientôt, volant vers toi sur un rayon du jour, 
" Mon aigle descendra t'enlever de la terre 
" Au céleste séjour.

 
" Là, mon coeur te réserve une place plus belle. 
" Conduisant du soleil les coursiers vagabonds, 
" C'est toi qui de sa flamme à la race mortelle 
" Verseras les rayons.

 
" Alors, si, comme toi, quelque enfant du génie, 
" A d'ignobles travaux forcé par le malheur, 
" Élevait jusqu'au sein de ta gloire infinie 
" Le cri de sa douleur ;

 
" Si, saisi du dégoût des choses de la terre, 
" Jetant sur la nature un oeil désenchanté, 
" Il écartait de lui la coupe trop amère 
" De l'immortalité :

 
" Qu'à ton seul souvenir il reprenne courage ; 
" Qu'il sache que l'injure ou l'oubli des humains 
" Ne lui raviront pas le sublime héritage 
" Qu'il reçut de tes mains !

 
" Le peuple des oiseaux, quand le temps les dévore, 
" Tombe et reste englouti dans l'éternel sommeil :
" Le phénix sait revivre et s'élancer encore 
" Aux palais du soleil. "


Apollon - Ecole italienne beaux arts (XVII°)



 
Apollon - Ecole italienne beaux arts (XVII°)

Apollon - Ecole italienne beaux arts (XVII°)

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 00:15

Mythologie
 
Le laurier


Le laurier est le symbole d'Apollon.
 
Selon Ovide, alors qu’Éros, dieu de l’amour – (Cupidon pour les romains), s’entraînait à tirer à l’arc, Apollon dieu du chant, de la musique et de la poésie, se moqua de lui, pour son manque d’habileté. Furieux, Éros envoya une flèche d’or à Apollon, ce qui eut l'effet de le rendre fou d’amour pour Daphné, fille du dieu-fleuve Pénée, qui reçu à son tour une flèche de bronze, lui rendant insupportable toute idée se rapportant à l’amour. Apollon partit donc à la poursuite de sa bien-aimée.
 

Daphné tenta de lui échapper et pria son père ; devant sa détresse celui-ci la transforma en laurier – Daphné, (en grec signifie « laurier »).
 

Apollon décréta que désormais le laurier serait son arbre et consacra celui-ci aux triomphes, aux chants et aux poèmes.
 

La pythie de Delphes mâchait des feuilles de laurier avant ses divinations.
 
Chez les Grecs et les Romains anciens, l'usage s'était établi de couronner de laurier les poètes et les vainqueurs.

Apollon et Daphné de Nicolas Poussin (1625)
800px-Nicolas_Poussin_-_Apollo_and_Daphne_-_WGA18261.jpg


Mes images "laurier"

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 00:14




"Carte postale personnelle 1907"

Le Caire - Place de l'Opéra et statue de Ibrahim Pacha
numerisation0320.jpg


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