18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 01:58

 

Le siège de BESANCON

par les peintres du roi Louis XIV

 

Histoire

En 1667, Louis XIV, marié à Marie-Thérèse d'Espagne, réclame la Franche-Comté au titre de l'héritage de son épouse. Après une première campagne, en 1668, Besançon. est définitivement conquise en 1674. En 1678, le traité de Nimègue réunit la Franche-Comté à la France. Le parlement, l'université sont transférés de Dole à Besançon, capitale provinciale, qui est placée sous l'administration d'un intendant et devient aussi siège du gouvernement militaire.

La guerre déclenchée en 1672 a vu la naissance d'une coalition contre le royaume de France en 1673. Malgré son isolement, l'Angleterre ayant décidé de ne plus soutenir la France en février 1674, Louis XIV, à la tête d'une armée d'environ 70 000 hommes, décide d'attaquer la Franche-Comté. Alors que Louvois avait planifié la prise de Salins et de Dole avant d'attaquer Besançon, Vauban était intervenu et avait conseillé au ministre de s'attaquer d'abord à cette dernière, ce qui fut fait.

Lors de son arrivée sur le site le 26 avril, Vauban décide d'installer 36 pièces d'artillerie sur le mont Chaudanne qui surplombe la citadelle depuis l'ouest de la ville. À dos d'hommes et de mulets, de nuit, il fait installer les canons sur la colline. À partir de ce moment, la ville est sous le feu français. Elle se rendra le 15 mai et la citadelle résistera jusqu'au 22.

Sur tous ces champs de bataille, Louis XIV s'accompagnait de ses peintres

 

 

 Adam-François Van der Meulen,

baptisé le 11 janvier 1632 à Bruxelles et mort le 15 octobre 1690 à Paris, est un peintre d’origine bruxelloise. Il est appelé à Paris par Charles Le Brun, premier peintre du roi Louis XIV et directeur de la Manufacture des Gobelins.Se spécialisant dans la peinture de bataille et de chasse, il vient renforcer en 1665, l'équipe chargée d'immortaliser l'image du roi et est pensionné dès 1667. Il accompagne Louis XIV dans tous ses voyages, dans toutes ses résidences, et dans toutes ses guerres.

 

Louis XIV au siège de Besançon (Franche-Comté) - 1674
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Le siège de Besançon - Doubs - 1674
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Jean-Baptiste Martin,
surnommé « Martin des batailles »
ou encore « Martin des Gobelins »
, est un peintre français né en 1659 à Paris où il est mort en 1735.
Peintre du roi et directeur de la manufacture des Gobelins, il était spécialisé dans les scènes de bataille.
Ayant étudié auprès de Laurent de La Hyre, puis l'art des fortifications, il est envoyé comme dessinateur auprès de Sébastien Le Prestre de Vauban. Celui-ci le recommande à Louis XIV qui lui attribue une pension et collabore avec Adam François van der Meulen en tant que premier peintre des conquêtes du roi. 


Le Siège de Besançon - 1674
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Pierre-Denis Martin
dit Martin le Jeune 
est un artiste peintre français né à Paris en 1663 et décédé à Paris en 1742.
Élève de Adam François Van der Meulen, il a été « peintre ordinaire et pensionnaire du roy et de sa majesté ». Il est connu pour ses peintures présentes dans les châteaux royaux français réalisées à l'époque de Louis XIV puis de Louis XV, notamment au château de Versailles et au château de Compiègne.
Il est le frère de Jean-Baptiste Ier Martin, dit « Martin des Batailles » ou « Martin des Gobelins », peintre qui succéda à Van der Meulen, à la Manufacture des Gobelins.

Siège de Besançon en mai 1674
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Charles Le Brun,
proclamé premier peintre du roi le 1er Juillet 1664 et fut anoblie par la suite, baptisé le 24 février 1619 à Paris où il est mort le 12 février 1690, est un artiste peintre et décorateur français, premier peintre du roi Louis XIV, directeur de l'Académie royale de Peinture et de Sculpture, et de la Manufacture royale des Gobelins


La Franche-Comté conquise pour la seconde fois. 1674
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Armand Bernard
est un peintre français (20 avril 1829 à Cormatin - 4 mars 1894 à Paris),
d'après Sauveur Le Conte
ou " Louis Le Conte",
  né en 1659 et mort en 1694, est un peintre de guerre français.
Sauveur Le Conte était fils d’un maître peintre, Mainfrain Le Conte. 
Initié par son père à la peinture, Sauveur Le Conte est formé par le maître Van der Meulen. Il devint le principal collaborateur du grand peintre dans l'équipe de Charles Le Brun. Il fut chargé à la mort de Van der Meulen, de terminer ses toiles inachevées . Il fut surnommé le « Le Conte, peintre des batailles aux Gobelins ».

Conquête de la Franche-Comté, de Besançon, de Dole et de Gray 
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Maquette en relief - conservée au "Louvre"
La citadelle Vauban - Besançon
faite par les Ingénieurs de Louis XIV
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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 02:06


Les papillons de la faune franc-comtoise

De toutes les belles choses
Qui nous manquent en hiver,
Qu'aimez-vous mieux ? - Moi, les roses ;
- Moi, l'aspect d'un beau pré vert ;
- Moi, la moisson blondissante, 
Chevelure des sillons ; 
- Moi, le rossignol qui chante ; 
- Et moi, les beaux papillons !

 Gérard de Nerval


Images

 

Argus satiné

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Argus bleu Céleste mâle
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Azuré des anthyllides ou Demi-argus
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Aurore
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Citron
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Gazé
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Apollon
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le cuivré de la bistorte espèce très rare localisée dans le Jura
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Le fadet des tourbières en voie d'extinction
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Petite tortue
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Robert le diable - papillon diurne
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Vulcain
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Demi-deuil
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Nacré de la canneberge
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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 02:29

 

Pour le thème

du mois de mars

de la communauté "douce France"

 

 

Vignobles

VINCENT CHEVIET BUCEY LES GY 
  Val de Saône  -Franche-Comté

Situé sur les Monts de Gy et plus particulièrement sur les coteaux de Chierenard et Brûlecul, le domaine de Vincent CHEVIET regroupe aujourd’hui près de 5 hectares de vignes.
Reconnu ancestralement au XVIIème siècle, ces coteaux ont fait du vignoble haut-saônois un domaine réputé pour ces vins de qualité.
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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 00:25

L'abbé volant,
un prêtre franc-comtois
plongeur de haut vol et créateur de cette discipline
pour qui je garde un merveilleux souvenir, et une grande admiration.

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C'est l'histoire d'un homme d'Eglise au grand coeur, un temps prêtre dans un village tout près de chez moi.  
 
L’Abbé Robert SIMON dit "Abbé volant" est né le 23 Juin 1913 à Roulans (Doubs). Son père, mort à la guerre en 1917, il est élevé à Besançon, par sa mère,  veuve,  avec ses deux frères, 
 
Après l’école primaire, il entre au petit séminaire. Ensuite il fait
ses études de philosophie à Faverney (Haute Saône). Il revient au grand séminaire de Besançon  en 1933. En 1934, il fait son service militaire et le 29 Juin 1938, il est ordonné prêtre.
 
Il est nommé à Besançon-Battant en qualité de vicaire à l’église Ste Madeleine, paroisse du quartier le plus populaire de la ville.
 
 Mobilisé, en Septembre 1939, il rejoint le 16ème bataillon de chars de combat basé en Alsace. A l’Armistice, il sera démobilisé.
 
Après un passage à Marseille, il retourne vicaire à l’église Ste Madeleine de Besançon ets’occupe des jeunes du quartier. 
Le 15 Août 1944, il est nommé Curé dans le village de Saône (Doubs). Là l'église n'est pas en très bon état, il décide d'organiser une kermesse pour récolter les fonds nécessaires à sa restauration. Malheureusement les fonds récoltés ne sont pas suffisants.
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Il faut de l’argent à tout prix. C’est ainsi qu’il décide de plonger, sans avoir appris, sans préparation, sans organisation, à une époque où les prêtres en soutane, n’avaient pas le droit de se produire en public, de s’arrêter dans un café encore moins de se montrer en maillot de bains. Il va voir Monseigneur Dubourg, et Monseigneur approuve…
 
Il plonge à Villers-le-Lac le 15 Août 1947, du haut d’une tour en bois montée au-dessus d’un rocher de 20 mètres......
« Sainte Thérèse, allez-y, je ne peux plus reculer...».
Et ce fut le grand plongeon, le « quitte ou double », la mort ou la réalisation d’audacieux projets. Ce fut un succès.

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Il entreprit alors la série de 110 plongeons de 35 mètres, 42 mètres à Casablanca qui lui permirent de réparer son église, de construire des maisons avec des équipes bénévoles, de soulager des misères, de donner aux enfants de la paroisse des vacances à la mer.  Il crée une colonie de vacances, un village de vacances.
Et  Il plongea ainsi de 1947 à 1962. 

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A 50 ans, il réduit ses sauts et ses spectacles et s’installe à Ste Anne du Castellet (Var). Il s’occupe de la paroisse et crée un centre de plongeon de haut vol et le 03 Juillet 1983, il plonge de 17 mètres à Villers-le-Lac, dans le lac des Brenets,  lieu de son premier exploit, il a 70 ans. 
 
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Pour mieux se consacrer aux équipes de jeunes plongeurs qu’il entraîne en mer, il a obtenu sa mutation à Ste Anne du Castelet (Var) où il résidera dès 1963 jusqu’au 14 Août 2000 (date de son décès). Durant toute cette période, il est entouré de ses paroissiens nouveaux et anciens qui viennent chaque année en grand nombre lui rendre visite raviver les bons souvenirs. Et Ste Anne est devenue le lieu de rassemblement de tous ses nombreux amis reconnaissants de Franche-Comté, de tous les coins de France et d’ailleurs.
Les médias, presse écrite et TV, ne l’oublient pas. Il est toujours sollicité.
 
 Vidéo de Philippe Lallet (Antenne 2) qui a obtenu un 7 d'or en 1983
(pour lire la video arrêter la musique du blog à droite)
 
Pour expliquer son incroyable réussite (110 plongeons de plus de 30 mètres de haut) l’Abbé SIMON, modeste, se disait servi par la chance, la Providence. Sa force intérieure
"la petite Ste Thérèse et la prière"
disait-il, les lui donnaient et l’aidaient dans ses plongeons.
Ses accidents de simples égratignures.
Il incarnait les vertus que l’on recherche dans l’Eglise, l’amour, la charité, l’humilité. Son regard était d’une grande douceur. Il était d’une simplicité extrême, toujours souriant et s’émerveillait de tout.
(Pays comtois)
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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 00:03
Images féeriques
Cascades en Franche-Comté


Baume-les-Messieurs est une commune française, situé dans le département du Jura et la région Franche-Comté, au fond d'un cirque, entouré par des falaises hautes d'une centaine de mètres entaillant le premier plateau jurassien : il s'agit d'une des reculées les plus célèbres du Jura. Il est labellisé par l'association Les plus beaux villages de France
Dans la reculée de Baume, à l'entrée des grottes, l'eau de la résurgence du Dard jaillit en queue de cheval. Elle réapparaît à l'air libre pour composer quelques mètres plus bas, la fameuse cascade des Tufs.
Resurgence du Dard
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Cascade des tufs - Jura
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Le Lison est une rivière française qui coule dans le département du Doubs, dans la région Franche-Comté. C'est un affluent en rive gauche de la Loue, un sous-affluent du Rhône par la Loue, le Doubs et la Saône.
Sa source se trouve dans la commune de Nans-sous-Sainte-Anne, commune française, située dans le département du Doubs et la région Franche-Comté.
Sources du Lison - Doubs
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Villers-le-Lac est une commune française, située dans le département du Doubs et la région Franche-Comté et du canton de Morteau, à la frontière franco-suisse.
La ville doit sa renommée à la superbe cascade du Saut du Doubs haute de 27 mètres. Site naturel classé de France

Le saut du Doubs
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Le Dessoubre est une rivière française, affluent du Doubs. De Consolation, où il prend sa source, à Saint-Hippolyte (Doubs), où il se jette dans le Doubs, le Dessoubre anime une vallée pittoresque de 33 km

Source du Dessoubre - Doubs
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 Dans les lacets de Septmoncel, route sinueuse traversant le village à une dizaine de kilomètres de Saint-Claude (Jura), se trouve le "Chapeau de Gendarme" d’où jaillit une jolie cascade.Très spectaculaire en hiver avec la formation d'une cascade de glace.

 

Une Cascade du Chapeau de Gendarme - Jura

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Dans les gorges de la Bienne, rivière qui parcourt le massif jurassien, près de Saint-Claude (Jura), on peut contempler la petite cascade de la Vouivre sortant des rochers pour tomber dans la vallée. On ne peut s'empêcher de penser à "La Vouivre" femme-serpent des légendes ayant inspiré le roman de Marcel Aymé.

Cascade de la Vouivre - Jura
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Le Hérisson est une rivière du massif du Jura, en France, dans la Région des lacs du Jura français et un affluent de l'Ain, donc un sous-affluent du Rhône.
De 20,5 km de longueur, il prend sa source au niveau du lac de Bonlieu dont il est l'exutoire. Son bassin versant est limité à 49 km et le périmètre du bassin versant près de 100 km. Il s'écoule rapidement sur le plateau du Frasnois à 800 mètres d'altitude avant de s'engager dans une reculée typique du Jura, où son parcours va être ponctué de cascades.
Le Hérisson est né du mariage de deux ruisseaux prenant leur source dans les eaux des lacs de Bonlieu et d'Ilay, pour se réunir en une série de cascades (Site Naturel Classé depuis le 29 avril 2002)

Les Cascades du Hérisson dans les glaces
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La chute d'eau la plus réputée du Plateau des Mille Étangs est située sur la commune de Servance. Selon une légende locale l'emplacement de Servance (Haute-Saône) était autrefois occupé par un lac (d'origine glaciaire). Vers 1300, la fille du seigneur de Montandré s'y noya, et pour retrouver son corps, son père fit ouvrir le verrou glaciaire, à l'emplacement de l'actuel Saut de l'Ognon. Dans la vallée asséchée se construisit plus tard le village de Servance.

Le percement de la roche permit de libérer les flots tumultueux, et de sauver le bourg des eaux de l'Ognon. La rivière prend sa source à Château-Lambert, les premiers kilomètres prennent l'allure d'un torrent, puis l'Ognon gonfle dans la pente et se mélange à des ruisseaux qui finissent une chute majestueuse de 13 mètres.

Le saut de l'Ognon - Haute-Saône

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 00:36
Vignobles

thème de mars
de la communauté 
"douce France"

Charcenne - Haute-Saône



Charcenne est une commune du département de la Haute-Saône, dans la région Franche-Comté, en France. Les habitants sont les Charcennais.

Depuis le 1732, la Famille Guillaume cultive la vigne à Charcenne. Dans les années 1850, les vignerons de Charcenne produisaient du vin pour étancher la soif des ouvriers des forges de Haute-Saône.

Aujourd'hui, le Vignoble Guillaume est constitué de 35 hectares de vignes, vinifiées et commercialisées  en Vin de pays de Franche-Comté.



Vendanges à Charcenne
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Grappes de raisin de Charcenne
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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 01:26
Vignobles

pour le thème de mars
de la communauté
"douce France"

"Le trousseau"



Montigny-lès-Arsures est une commune française, située dans le département du Jura et la région Franche-Comté.
Montigny se trouve en plein cœur de vignoble jurassien, dans le nord est du Jura.
Elle est la capitale du "trousseau" qui donne de superbes vins rouges. L'obstination des vignerons a permis de sauvegarder ce rare cèpage.


Vendanges sur les coteaux de montigny
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un pied de trousseau
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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 00:50

 



Vignobles

thème de mars
de la communauté 
"douce France"

Vignobles d'Arbois


Les vins du Jura doivent une partie de leur renommée à Louis Pasteur  né en 1822 à Arbois. Ces périodes de détente étaient passées à ses travaux sur les vins, avec son ami arboisien Jules Vercel. Il fit l'acquisition d'une vigne (qui porte son nom) dans le village de Montigny-Lès-Arsures,  pour mener à bien ses expériences, des travaux déterminants qui donneront naissance à un procédé de stérilisation universellement connu et pratiqué pour d'autres denrées alimentaires : la pasteurisation.

Cette immersion dans l'univers de Pasteur rend hommage aux vignerons d'Arbois. Ils sont les premiers français à avoir obtenu l'appellation d'origine contrôlée en 1936. Née du Celte "ar et bos" (terre fertile), l'appellation Arbois est répartie sur 13 communes.

Capitale des vins du Jura, Arbois sait conjuger vins et art de vivre.
(pays comtois)

Le chateau Pécault dominant les vignes
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tubes ayant servis à Pasteurnumerisation0024.jpg
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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 00:48


Vignobles

pour le thème de mars

de la communauté Douce France

 

Le vignoble jurassien


Le vignoble du Jura représente une région viticole située dans le Jura en Franche-Comté. Elle s'étend sur le Revermont et occupe une bande nord-sud de 70 kilomètres de long (de Salins-les-Bains à Saint-Amour) et de 6 kilomètres de large qui longe la fracture géologique séparant la Bresse du massif du Jura. Marqué par une personnalité typique et représentant environ 2 000 hectares, c'est l’un des plus petits vignobles français.

L'appellation générique du vignoble jurassien est le Côtes du Jura , mais il existe des appellations de terroir comme Arbois, Château-Chalon et L’Étoile, l'appellation Crémant du Jura et le macvin obtenu par la distillation du marc du Jura. De vins rouges et rosés , blancs dont le vin jaune et le liquoreux vin de paille produit avec des raisins desséchés.

 

 

Le vignoble jurassien entre Arbois et Pupillin.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 01:12


Les gares

pour le thème de la communauté
"douce France"


Gray est une commune française située dans le département de la Haute-Saône et la région Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Graylois.

Gray est la cinquième ville la plus peuplée du département après respectivement Vesoul, Héricourt, Lure et Luxeuil-les-Bains, et seizième sur le plan régional.

Sans doute occupé dès la préhistoire par des troupes nomades, Gray a longtemps été une des villes les plus importantes de Haute-Saône. Sa vocation commerciale s'est affirmée dès le XIIIe siècle siècle, et Gray est vite devenue le deuxième port de l'Est après Strasbourg.

Gray jouit d'une position centrale par rapport à Dijon, Dole, Langres, Besançon et Vesoul.


La gare de Gray (1900) - Haute-Saone (image almanach comtois)
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