12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 00:23
 
 
"Femmes et Fleurs"
par les grands peintres (101)

Brenda Burke (portraitiste) (1)
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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 00:19
Pour le thème du mois de Novembre
de la communauté "douce France"

"Les Portes"

Porte surélevée d'une habitation
à Rougegoutte - Territoire de Belfort
numerisation0008.jpg
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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 01:20
Renée Vivien, 

née Pauline Mary Tarn le 11 juin 1877 à Londres et morte le 18 novembre 1909 à Paris, surnommée « Sapho 1900 », 

est une poétesse britannique de langue française du courant parnassien de la Belle Époque.



Etudes et préludes
Aurore sur la Mer

Je te méprise enfin, souffrance passagère !
J’ai relevé le front. J’ai fini de pleurer.
Mon âme est affranchie, et ta forme légère
Dans les nuits sans repos ne vient plus l’effleurer.

Aujourd’hui je souris à l’Amour qui me blesse.
O vent des vastes mers, qui, sans parfum de fleurs,
D’une âcre odeur de sel ranimes ma faiblesse,
O vent du large ! emporte à jamais les douleurs !

Emporte les douleurs au loin, d’un grand coup d’aile,
Afin que le bonheur éclate, triomphal,
Dans nos cœurs où l’orgueil divin se renouvelle,
Tournés vers le soleil, les chants et l’idéal !

Renée Vivien

 
Alfred Stevens (1823-1906)
Adieu au Bord de Mer 
Alfred-Stevens--1823-1906-Adieu-au-Bord-de-Mer.jpg


Renée Vivien
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/68/Renee-Vivien.png
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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 00:14
Renée Vivien,
 
née Pauline Mary Tarn le 11 juin 1877 à Londres et morte le 18 novembre 1909 à Paris, surnommée « Sapho 1900 »,
 
est une poétesse britannique de langue française du courant parnassien de la Belle Époque.


Dédicace
Etudes et préludes


Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait à l’or le cristal et l’airain.
Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l’écume.
Le soir d’été semblait un rêve oriental
          De rose et de santal.


Je tremblai. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids.
Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts
Dans le souffle pâmé des angoisses suprêmes.
De tes clairs vêtements s’exhalaient tout à tour
          L’agonie et l’amour.


Je sentis frissonner sur les lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis des lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes.
Parmi des flots de sons languissamments décrus,
          Blonde, tu m’apparus.


Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible,
D’infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d’émerveillement.
Mais la strophe monta puérile et pénible,
Piètre et piteux effort rempli de vanité,
          Vers ta divinité.

George Hillyard Swinstead  (1860-1926)
La Jeune fille et le lys
Swinstead-George-Hillyard jeune fille et lys


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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 00:12
 
 
"Femmes et Fleurs"
 par les grands peintres (100)

Brown Maynard (1840-1900)
Le bouquet de violettes
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Joan Brull (1863-1912) 
Rêverie, 1905
zz-Brull--1863-1912----Reverie--1905.jpg

George Lawrence Bulleid (1858-1933)
La corbeille de fleurs
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
Le panier de fleurs
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
Jeune fille à la couronne de fleurs
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
La corbeille de roses
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
Jeune fille à la couronne de fleurs
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
Jeune femme endormie dans les iris
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
Portrait de femme
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
Portrait de femme et tulipes
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George Lawrence Bulleid (1858-1933)
Un vent de fleurs
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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 00:10
Pour le thème du mois de Novembre
de la communauté "douce France"

"Les Portes"

Porte d'habitation et escalier fleuri
à Pesmes  - Haute-Saône
numerisation0009.jpg
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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 23:40

Renée Vivien, 
née Pauline Mary Tarn le 11 juin 1877 à Londres et morte le 18 novembre 1909 à Paris,

surnommée « Sapho 1900 », 

est une poétesse britannique de langue française du courant parnassien de la Belle Époque.

Ton rire est clair, ta caresse est profonde


Ton rire est clair, ta caresse est profonde, 
Tes froids baisers aiment le mal qu’ils font ; 
Tes yeux sont bleus comme un lotus sur l’onde, 
Et les lys d’eau sont moins purs que ton front. 


Ta forme fuit, ta démarche est fluide, 
Et tes cheveux sont de légers roseaux ; 
Ta voix ruisselle ainsi qu’un flot perfide ; 
Tes souples bras sont pareils aux roseaux, 


Aux longs roseaux des fleuves, dont l’étreinte 
Enlace, étouffe, étrangle savamment, 
Au fond des flots, une agonie éteint 
Dans un nocturne évanouissement.


http://img1.picmix.com/output/pic/original/1/7/4/1/2301471_8ea0a.gif

Renée Vivien
http://25.media.tumblr.com/tumblr_lpfeeqQ6hv1qb2frmo1_250.jpg
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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 18:01

 

 11  Novembre 1918 :
 
 L’armistice, signé le 11 novembre 1918, à 5 h 15, marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne, mais il ne s'agit pas d'une capitulation au sens propre.
une_armistice_copyright_collection_Kharbine_Tapabor.jpg

Le cessez-le-feu est effectif à onze heures, entraînant dans l'ensemble de la France des volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin d'une guerre qui a fait plus de 18 millions de morts et des millions d'invalides ou de mutilés. Les généraux allemands et alliés se réunissent dans un wagon-restaurant aménagé provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.
signatur.gif


Armisticetrain.jpg
Plus tard en 1919, à Versailles, ils signeront le traité de Versailles.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Armistice_de_1918



 A EVANS
comme dans toutes les villes et les villages de France à 15 heures, on entendit la cloche de l'église  retentir.

          Après les larmes de joie dans les coeurs, vont succéder la peine et la mélancolie et le deuil . 
1 383 000 français sont morts, 300 000 mutilés,des centaines de milliers de jeunes hommes seront invalides à vie. 

          Aucun village n'avait été épargné comme  ce fut le cas à EVANS. Chaque famille avait un père, ou un fils mort pour la France dans cette terrible guerre. 600 000 femmes sont veuves et 700 000 enfants orphelins.

 Le 25 Novembre 1923,

          C'est l'inauguration du monument aux morts.
          Après l'office religieux, le monument  fut béni, le voile tomba avec la sonnerie «au drapeau», et l'appel des morts.

          Après le Discours du maire, de l'ancien instituteur, du député, du conseiller général, du président des anciens combattants, ce fut des larmes de tristesse et d'émotion dans l'assemblée. La séparation après cet événement fut difficile.

          On peut lire sur le monument aux morts d'EVANS, le nom des quinze jeunes gens morts pour la France.

evans le monument aux mortsHPIM2027

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 15:52

« BLEUETS DE FRANCE », 

Soutenir le Bleuet de France, c’est témoigner sa reconnaissance pour l’engagement de nos aînés et de nos soldats dans la défense de notre liberté et notre démocratie.
Logo_Bleuet_de_France.jpg

 Les poilus français ont choisi le bleuet comme symbole de leur guerre. Spontanément, les soldats vétérans de la mobilisation en uniforme bleu et rouge ont nommé « bleuets » les jeunes recrues qui arrivaient au front courant 1915, vêtues du nouvel uniforme bleu horizon de l’armée française.

« Les voici les p’tits « Bleuets »,
Les Bleuets couleur des cieux
Ils vont jolis, gais et coquets,
Car ils n’ont pas froid aux yeux.
En avant partez joyeux ;
Partez, amis, au revoir !
Salut à vous, les petits « bleus »,
Petits « bleuets », vous notre espoir ! »
Alphonse Bourgoin, extrait de Bleuets de France, 1916.
 
 Cette appellation perdura pendant toute la guerre quand bien même dès 1915 toute l’armée française fut équipée du nouvel uniforme. En effet, la qualité de la teinture ne résistait pas aux conditions de vie et de combat des tranchées et l’uniforme avait tendance à prendre la couleur de la boue environnante. Tout homme de renfort avec son uniforme flambant neuf contrastait avec les tenues pitoyables des anciens, de plus l’analogie était évidente entre le bleuet et « le bleu » (nouveau conscrit). La popularité du bleuet fut telle pendant le conflit qu’il servit à des fins de propagande : affiches, chants, poèmes.
Comme le coquelicot britannique, c’est après guerre que le bleuet fut utilisé comme fleur du souvenir en faveur des mutilés de la guerre.
CPA_Bleuet_de_France_1914-1918-copie-1.jpg

Deux femmes sont à l’origine du bleuet de France ; Charlotte Maleterre et Suzanne Lenhardt (infirmière et veuve de guerre). Toutes les deux travaillaient à l’Hôtel des Invalides de Paris et face à l’afflux des invalides dans toutes les structures hospitalières de Paris, elles prennent l’initiative de créer un atelier de confection de fleurs en tissu réalisées par les invalides eux-mêmes. La vente de cette production permet aux mutilés de disposer d’un revenu de substitution. 
Collage.jpg

 
En 1934, le gouvernement français légalise la vente publique des bleuets sous le patronage de l’office national des anciens combattants et mutilés de guerre. Le 11 novembre 1939, en raison des circonstances de la guerre, le Bleuet de France et le Poppy britannique sont vendus en bouquets jumelés, symbole de l’alliance des deux nations.
 Depuis 1957, la petite fleur est proposée sous la forme d’un autocollant mis en vente dans toutes les communes de France les 8 mai et 11 novembre.

 Les fonds récoltés sont destinés aux œuvres sociales en faveur des anciens combattants, veuves et orphelins de guerre et depuis peu hélas, aux victimes des attentats : aide au logement, appareillages, maisons de retraite … A noter qu’une partie des fonds est destinée aux projets pédagogiques des écoles portant sur un travail de mémoire.
 
banniere-bleuet-web.jpg 
 
 
 
 
 
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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 00:50

Marceline Desbordes-Valmore,

 

née à Douai le 20 juin 1786 et morte à Paris le 23 juillet 1859,

 

est une poétesse française.





Ma chambre
Bouquets et prières

Ma demeure est haute,
Donnant sur les cieux ;
La lune en est l’hôte,
Pâle et sérieux :
En bas que l’on sonne,
Qu’importe aujourd’hui
Ce n’est plus personne,
Quand ce n’est plus lui !

Aux autres cachée,
Je brode mes fleurs ;
Sans être fâchée,
Mon âme est en pleurs ;
Le ciel bleu sans voiles ,
Je le vois d’ici ;
Je vois les étoiles
Mais l’orage aussi !

Vis-à-vis la mienne
Une chaise attend :
Elle fut la sienne,
La nôtre un instant ;
D’un ruban signée,
Cette chaise est là,
Toute résignée,
Comme me voilà !

Illustration mcp
Ma chambre
2700812_7a3cb2.jpg
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