22 juillet 2013 1 22 /07 /juillet /2013 02:21

"Femmes et  fleurs"
 par les grands peintres (2)

Eugen de Blaas (1843-1931) 
La rose
Blaas-de-La-rose.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
Au balcon
Blaas-de-rau_balcon.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
Deux femmes
Blaas-Deux-femmes.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
Pensée du moment
Blaas-La-pensee-de-l-instant.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
La plus douce des roses
Blaas-la-plus-douce-rose.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
La vendeuse de fleurs
Blaas-la-vendeuse-de-fleurs.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
La vendeuse de fleurs
blaas-la-vendeuse-de-fleurs.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
Marchande de fleurs vénitienne
Blaas-marchande-de-fleurs-venitienne-copie-1.jpg




Eugen de Blaas (1843-1931) 
Marchande de fleurs vénitienne
Blaas-marchande-de-fleurs-venitienne--2-.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
Marchande de fleurs 
blaas-marchande-de-fleurs.jpg

Eugen de Blaas (1843-1931) 
Femme en robe couleur lilas
blaas-femme-en-robe-couleur-lilas-.jpg
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22 juillet 2013 1 22 /07 /juillet /2013 02:20
Pour le thème de juillet
de la communauté "douce France"

 
La montagne 
par les grands peintres (7)

Pierre-Louis De la Rive (1753-1817)
Environ de Cluses
de-la-Rive-Pierre-Louis---Environ-de-Clusesde-la-rive-envir.jpg

Eugène Faure (1822-1878) 
En montagne
Faure-en-montagne.jpg

Eugène Faure (1822-1878) 
La vallée de l'Isère (vue prise de Seyssinet)
Faure-La-vallee-de-l-Isere--vue-prise-de-Seyssinet-.jpg

Eugène Faure (1822-1878) 
La vallée de l'Isère (vue prise de Seyssinet)
Faure-La-vallee-de-l-Isere--vue-prise-de-Seyssin-copie-1.jpg

Laurent Guétal, dit aussi l'Abbé Guétal (1841-1892)
Les ecrins - etages
guetal--Les-ecrins_etages_.jpg

Laurent Guétal, dit aussi l'Abbé Guétal (1841-1892)
La Meije
Guetal-La-Meije.jpg

Laurent Guétal, dit aussi l'Abbé Guétal (1841-1892)
Lac de montagne
guetal-lacs.jpg

Laurent Guétal, dit aussi l'Abbé Guétal (1841-1892)
Le lac de l'Eychauda
Guetal-Laurent__Le_lac_de_l-Eychauda.jpg
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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 03:00
Rainer Maria Rilke, 
né René Karl Wilhelm Johann Josef Maria Rilke, 
 
est un écrivain de langue allemande,

né le 4 décembre 1875 à Prague, mort le 30 décembre 1926 à Montreux, en Suisse. Il vécut à Veyras (Valais) de 1921 à sa mort. Il est surtout connu comme poète, bien qu'il ait également écrit un roman, Les Cahiers de Malte Laurids Brigge, ainsi que des nouvelles et des pièces de théâtre.



Eté
 
Été : être pour quelques jours 
le contemporain des roses ;
respirer ce qui flotte autour
de leurs âmes écloses.
 
Faire de chacune qui se meurt
une confidente,
et survivre à cette soeur
en d'autres roses, absente.
Émile Vernon (1872-1919) Jeune femme aux roses

Émile Vernon (1872-1919) Jeune femme aux roses

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 02:55

"Femmes et  fleurs"
 par les grands peintres 
Allan R. Banks (1948-) 
L'odeur des roses
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres

 

Allan R. Banks (1948-) 
Femme et fleurs
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres
Allan R. Banks (1948-) 
Femmes dans le jardin de fleurs
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres
Allan R. Banks (1948-) 
Femme et fleurs
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres
Allan R. Banks (1948-) 
Femme et fleurs
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres
Allan R. Banks (1948-) 
Au jardin
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres
Allan R. Banks (1948-) 
La fille en blanc
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres

 

Allan R. Banks (1948-) 
Au jardin
"Femmes et Fleurs " - par les grands peintres
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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 02:50
Pour le thème de juillet
de la communauté "douce France"

 
La montagne 
par les grands peintres (6)



Georgette Agutte (1867-1922)
Chamonix l'hiver
cop-AGUTTE-Georgette-chamonix-l-hiver.jpg

Georgette Agutte (1867-1922)
Chamonix l'hiver 
cop-AGUTTE-Georgette-chamonix-l-hiver2.jpg

Georgette Agutte (1867-1922)
Matin sur le lac de Saint Moritz
cop-AGUTTE-GeorgetteMatin-sur-le-lac-de-Saint-Moritz.jpg

Alexandre Calame (1810-1864)
Etude de montagne
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Alexandre Calame (1810-1864)
La route de Grimsel - Hautes-Alpes
cp-calame-la-route-de-Grimsel---Hautes-Alpes.jpg

Alexandre Calame (1810-1864)
Le lac -Alpes
cp-Calame-Le-Lac--Alpes-.jpg

Alexandre Calame (1810-1864)
Paysage alpestre
cp-Calame-paysage-alpestre.jpg

Alexandre Calame (1810-1864)
Paysage alpestre
cpCalame-Paysage.jpg
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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 02:34
Auguste Lacaussade 
est un poète français 
né le 8 février 1815 à Saint-Denis de l'île Bourbon et mort le 31 juillet 1897 à Paris


Les Soleils de Juillet
A elle
 
Les voici revenus, les jours que vous aimez,
Les longs jours bleus et clairs sous des cieux sans nuage.
La vallée est en fleur, et les bois embaumés
Ouvrent sur les gazons leur balsamique ombrage.
Tandis que le soleil, roi du splendide été,
Verse tranquillement sa puissante clarté,
Au pied de ce grand chêne aux ramures superbes,
Amie, asseyons-nous dans la fraîcheur des herbes ;
Et là, nos longs regards perdus au bord des cieux,
Allant des prés fleuris dans l’éther spacieux,
Ensemble contemplons ces beaux coteaux, ces plaines
Où les vents de midi, sous leurs lentes haleines,
Font des blés mûrissants ondoyer les moissons.
Avec moi contemplez ces calmes horizons,
Ce transparent azur que la noire hirondelle
Emplit de cris joyeux et franchit d’un coup d’aile ;
Et là-bas ces grands bœufs ruminants et couchés,
Et plus loin ces hameaux d’où montent les clochers,
Et ce château désert, ces croulantes tourelles,
Qu’animent de leur vol les blanches tourterelles,
Et ce fleuve paisible au nonchalant détour,
Et ces ravins ombreux, frais abris du pâtour,
Et tout ce paysage, heureux et pacifique,
Où s’épanche à flots d’or un soleil magnifique !…
 
O soleils de juillet ! ô lumière ! ô splendeurs !
Radieux firmament ! sereines profondeurs !
Mois puissants qui versez tant de sèves brûlantes
Dans les veines de l’homme et les veines des plantes,
Mois créateurs ! beaux mois ! je vous aime et bénis.
Par vous les bois chargés de feuilles et de nids,
S’emplissent de chansons, de tiédeurs et d’arômes.
Les arbres, dans l’azur ouvrant leurs larges dômes,
Balancent sur nos fronts avec l’encens des fleurs
Les voix de la fauvette et des merles siffleurs.
Tout est heureux, tout chante, ô saison radieuse !
Car tout aspire et boit ta flamme glorieuse.
Par toi nous vient la vie, et ta chaude clarté
Mûrit pour le bonheur et pour la volupté
La vierge, cette fleur divine et qui s’ignore.
Dans les vallons d’Éden, sereine et pure encore,
Sous tes rayons rêvant son rêve maternel,
A l’ombre des palmiers Ève connût Abel.
Abel dans ses enfants en garde souvenance.
Aussi, quand brûle au ciel ta féconde puissance,
O mère des longs jours ! lumineuse saison !
Oubliant tout, Caïn, l’ombre, la trahison,
La race enfant d’Abel, fille de la lumière,
Race aimante et fidèle à sa bonté première,
Avec l’onde et la fleur, avec le rossignol,
Ce qui chante dans l’air ou fleurit sur le sol,
S’en va disant partout devant ta clarté blonde :
« Combien tous les bons cœurs sont heureux d’être au monde ! »
 
Et moi, je suis des leurs ! Épris d’azur et d’air,
Quand ton astre me luit dans le firmament clair,
Avant midi j’accours, sous l’arbre où tu m’accueilles,
Saluer en plein bois la jeunesse des feuilles !
Là, dans l’herbe caché, seul avec mes pensers,
J’ai bien vite oublié les mauvais jours passés.
Sous les rameaux lustrés où ta clarté ruisselle,
Je bois en paix ma part de vie universelle.
Les sens enveloppés de tes tièdes réseaux,
J’écoute autour de moi mes frères les oiseaux ;
Avec l’herbe et l’insecte, avec l’onde et la brise,
Sympathique rêveur, mon esprit fraternise.
Voilé d’ombre dorée et les yeux entr’ouverts,
L’âme pleine d’accords, je médite des vers.
Mais si, comme aujourd’hui, ma pâle bien-aimée
M’a voulu suivre au bois, sous la haute ramée,
Si ma charmante amie aux regards veloutés
A voulu tout un jour, pensive à mes côtés,
Oubliant et la ville et la vie et nos chaînes,
Boire avec moi la paix qui tombe des grands chênes ;
Sur les mousses assis, mon front sur ses genoux,
Plongeant mes longs regards dans ses regards si doux,
Ah ! je ne rêve plus de vers !… Sous son sourire
Chante au fond de mon âme une ineffable lyre ;
Et des arbres, des fleurs, des grâces de l’été,
Mon œil ne voit, mon cœur ne sent que sa beauté !
Et dans ses noirs cheveux glissant un doigt timide,
J’y pose en frémissant quelque beau lys humide ;
Et, muet à ses pieds, et sa main sur ma main,
J’effeuille vaguement des tiges de jasmin ;
Et leur vive senteur m’enivre, et sur notre âme
Comme un vent tiède passe une haleine de flamme !…
O flammes de juillet ! soleils de volupté !
Saveur des baisers pris dans le bois écarté !
O chevelure moite et sous des mains aimées
S’épandant sur mon front en grappes parfumées !
Des fleurs sous la forêt pénétrante senteur,
Arbres de feux baignés, heures de molle ardeur,
Heures où sur notre âme, ivre de solitude,
Le calme des grands bois règne avec plénitude ;
Tranquillité de l’air, soupirs mystérieux,
Dialogue muet des yeux parlant aux yeux ;
Longs silences coupés de paroles plus douces
Que les murmures frais de l’eau parmi les mousses ;
O souvenirs cueillis au pied des chênes verts,
Vous vivez dans mon cœur. Vous vivrez dans mes vers !
Illustration Max Ginsburg "rêver de vous"

Illustration Max Ginsburg "rêver de vous"

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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 02:25

"Baigneuses"
 
par les grands peintres (16)

Théo van Rysselberghe (1862-1926)
A l'ombre des pins13-Van-Rysselberghe-In-the-shade-of-the-pines.jpg

Théo van Rysselberghe (1862-1926)
Baigneuses
13-Van-Rysselberghe-theo---Bathers.jpg

Théo van Rysselberghe (1862-1926)
Baigneuses au Cap Benat
13-van-Rysselberghe--Baigneuses-au-Cap-Benat.jpg

Théo van Rysselberghe (1862-1926)
Quatre baigneuses
13-Van-Rysselberghe--Four-Bathers.jpg

Théo van Rysselberghe (1862-1926)
L'heure du bain
13-Van-Rysselberghe--Hour-bath.jpg

Théo van Rysselberghe (1862-1926)
L'heure embrasée
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Théo van Rysselberghe (1862-1926)
Sous les pins
13-Van-Rysselberghe--Under-the-Pines.jpg

Alexey Gavrilovich Venetsianov (1780-1847) 
Baigneuses
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Alexey Gavrilovich Venetsianov (1780-1847) 
Baigneuse
14-venetsianov-ba.igneuse.jpg

Jean Antoine Watteau (1684-1721)
Baigneuse
15-watteau-baigneuse.jpg
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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 02:20
Pour le thème de juillet
de la communauté "douce France"

 
La montagne 
par les grands peintres (5)


Jean Achard (1807-1884)
Le Néron
cop-achard-le-Neron.jpg

Jean Achard (1807-1884)
Paysage aux environs de Grenoble
cop-ACHARD-paysage-aux-environs-de-Grenoble.jpg

Jean Achard (1807-1884)
Vue de Belledonne
cop-Achard-Vue-de-Belledonne.jpg

Jean Achard (1807-1884)
Massif de la grande chartreuse
cop-achardmassif-de-la-grande-chartreuse.jpg

Jean Achard (1807-1884)
Vue de Grenoble (prise de la Graille)
cop-achardVue-de-Grenoble--prise-de-la-Graille.jpg

Jean Achard (1807-1884)
Vue prise à Saint-Egrève, près de Grenoble
cop-achardVue-prise-a-Saint-Egreve--pres-de-Grenoble.jpg
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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 02:21
Charles Marie René Leconte de Lisle 
 
est un poète français,

né le 22 octobre 1818 à Saint-Paul sur l’Île Bourbon et mort le 17 juillet 1894 à Voisins.
 
Son œuvre est dominée par trois recueils de poésie, Poèmes antiques (1852), Poèmes barbares (1862) et Poèmes tragiques (1884), ainsi que par ses traductions d’auteurs anciens.



Midi
 
 
Midi, roi des étés, épandu sur la plaine,
Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu.
Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine ;
La terre est assoupie en sa robe de feu.

 
L'étendue est immense, et les champs n'ont point d'ombre,
Et la source est tarie où buvaient les troupeaux ;
La lointaine forêt, dont la lisière est sombre,
Dort là-bas, immobile, en un pesant repos.

 
Seuls, les grands blés mûris, tels qu'une mer dorée,
Se déroulent au loin, dédaigneux du sommeil ;
Pacifiques enfants de la terre sacrée,
Ils épuisent sans peur la coupe du soleil.

 
Parfois, comme un soupir de leur âme brûlante,
Du sein des épis lourds qui murmurent entre eux,
Une ondulation majestueuse et lente
S'éveille, et va mourir à l'horizon poudreux.

 
Non loin, quelques bœufs blancs, couchés parmi les herbes,
Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais,
Et suivent de leurs yeux languissants et superbes
Le songe intérieur qu'ils n'achèvent jamais.
 
...
Viens ! Le soleil te parle en paroles sublimes ;
Dans sa flamme implacable absorbe-toi sans fin ;
Et retourne à pas lents vers les cités infimes,
Le cœur trempé sept fois dans le néant divin.
Julien Dupré

Julien Dupré

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 02:19
"Baigneuses"
 
par les grands peintres (15)

Félix Vallotton (1865-1925) 
baigneuse sous le ciel orageux 
13-valloton-baigneuse-sous-le-ciel-orageux.jpg

Félix Vallotton (1865-1925) 
baigneuse
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Félix Vallotton (1865-1925) 
baigneuse
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Félix Vallotton (1865-1925) 
baigneuse 
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Félix Vallotton (1865-1925) 
baigneuse
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Félix Vallotton (1865-1925) 
baigneuse assise sur un rocher
13-VALLOTTON-Felix--peintre-Baigneuse-assise-sur-un-rocher.jpg

Félix Vallotton (1865-1925) 
Baigneuse
13-Vallotton-baigneuse.jpg
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