Balades comtoises

<< < 3200 3210 3211 3212 3213 3214 3215 3216 3217 3218 3219 3220 3230 3240 3250 3260 3270 3280 3290 3300 3400 3500 3600 > >>

8 juillet 2015 3 08 /07 /juillet /2015 22:49

Le temps des moissons - champ d'orge

Evans - Jura

Partager cet article

Repost0

Published by Balades comtoises - dans Franche-Comté - campagne
commenter cet article …

8 juillet 2015 3 08 /07 /juillet /2015 22:40

Le saut du Doubs - Villers le Lac - Doubs

Le saut du Doubs est une chute de 27 mètres sur le Doubs à Villers-le-Lac, le Doubs est surnommé "Niagara français", avec le label de "Grand site national".

Le saut du Doubs - Villers le Lac - Doubs

Les bassins et le Saut du Doubs

Les bassins du Doubs, loisirs garantis Situés à la frontière suisse, sur la commune de Villers-le-Lac, les bassins et le Saut du Doubs méritent amplement leur surnom de " chutes du Niagara " ...

http://www.montagnes-du-jura.fr/les-bassins-et-le-saut-du-doubs/

Saut du doubs |

Survolez les pastilles numérotées pour découvrir en avant-première le décor exceptionnel de votre croisière ! villages, grottes montagnes, rochers bassins, méandres, canyons, lac, embarcadè...

http://www.sautdudoubs.fr/

Partager cet article

Repost0

Published by Balades comtoises - dans Franche-Comté cascades
commenter cet article …

8 juillet 2015 3 08 /07 /juillet /2015 02:55

Charles-Marie LECONTE DE LISLE - poète - "Annie"

Charles Marie René Leconte de Lisle

est un poète français, né le 22 octobre 1818 à Saint-Paul sur l’Île Bourbon et mort le 17 juillet 1894 à Voisins.

Il est considéré comme le chef de file du mouvement parnassien, autant par l’autorité que lui a conférée son œuvre poétique propre que par des préfaces dans lesquelles il a exprimé un certain nombre de principes auxquels se sont ralliés les poètes d’une génération, (entre la période romantique et le symbolisme) regroupés sous le vocable de parnassiens à partir de 1866.

Son œuvre est dominée par trois recueils de poésie, Poèmes antiques (1852), Poèmes barbares (1862) et Poèmes tragiques (1884), ainsi que par ses traductions d’auteurs anciens

Annie

La lune n'était point ternie,

Le ciel était tout étoilé ;

Et moi, j'allai trouver Annie

Dans les sillons d'orge et de blé.

Oh ! les sillons d'orge et de blé !

Le coeur de ma chère maîtresse

Etait étrangement troublé.

Je baisai le bout de sa tresse,

Dans les sillons d'orge et de blé !

Oh ! les sillons d'orge et de blé !

Que sa chevelure était fine !